Second retour à Kouba, en mai 2007, après celui de juin 2004. C'est dans cette banlieue du Sud d'Alger que nous vécûmes entre 1952, à notre arrivée d'Oran, et 1955, date de notre installation à Diar-es-Saâda. Nous habitions l'immeuble Vuillemin, 70 avenue Lavigerie, dans le Vieux-Kouba.
En 2004 j'avais vainement cherché la villa d'un collègue du CTA de mon père. Ce fut chose faite en 2007. Ainsi que la villa d'un ancien élève de mon père, et celle de la famille commune à ces deux personnes. J'ai pu aussi entrer dans les lieux de la Sainte-enfance, et discuter avec la Soeur s'occupant des jeunes filles Berbères, ainsi qu'avec le Père. Le travail artisanal est vraiment remarquable, et s'écoule principalement par le "bouche à oreille"; adresse et coordonnées du centre figurent avec les photos!
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"Kouba, commune de 20.000 habitants, fondée en 1832 par un premier contingent d'émigrants alsaciens. Sa position sur une hauteur (127 m.) est des plus belles (phare pour l'aviation); on domine le Hamma et tout le panorama de la baie décrivant sa courbe d'Alger à Matifou. Kouba doit son nom à la koubba édifiée en 1543 par Hadj Pacha et qui sert de chapelle dans le jardin du séminaire, fondé en 1853." (Guide Bleu 1955).
En 1926 la commune avait 5.458 habitants, dont 2.796 européens (51,23%), et en 1954 20.749 habitants, dont 8.102 européens (39,05%).
Principaux édifices: